ma beurette

Je suis videur dans un night-club huppé de Lille dont je préfère taire le nom. Chaque soir, je me tape des gens bourrées, des petits malins, des prostituées qui rodent par là et des filles libertines chaudes comme la braise qui me jette leurs petites culottes au visage, surtout quand elles ont un verre de trop. Mon travaille c’est de veiller à ce que tout reste calme et que les choses ne partent pas en sucette. Ce n’est pas du tout facile, surtout que je dois aussi me séparer de ma maitresse chaque soir. Elle est Kabyle, on est ensemble depuis 2 ans maintenant. J’ai un petit faible pour les femmes arabes, je l’avoue.

Quand je rentre vers 6h, elle est déjà débout prête à se rendre à son travail. Le sexe, c’est plus comme avant, faute de temps. Pour un mec accro à la baise comme moi, c’est bien peu, surtout quand on passe toutes les nuits à mater des belles nanas dans des tenues ultra sexy, des nanas quelques fois en manque qui ne demandent qu’à se faire démonter la chatte. Toute une nuit sans ma jolie Kabyle, ce n’est jamais évident, mais pas le choix, il faut bien gagner sa vie, et ça, elle le comprend bien. soit elle est arabe, mais elle est sans tabou, musulmane non pratiquante, avec elle, ben je peux sans hésiter dire qu’on baise bien, c’est une nympho en puissance lol.

La semaine passée, alors que je bossais, elle m’a appelé et m’a dit

- Fabrice, je veux que tu viennes m’enculer tout de suite
- Maintenant ! Mais je bosse chérie ! Je rétorquai à ma chérie
- Oui, tout de suite Fab, alors trouve une raison

Je n’avais jamais sodomisé ma meuf, à chaque fois, elle me disait toujours

- C’est pas le moment, j’ai un peur d’avoir mal, après, n’oublie pas que je suis musulmane quand même.

Car bien qu’elle ne soit pas pratiquante, elle est quand même assez retissant sur deux ou trois choses, comme : manger le porc, se faire enculer et blasphémer sur le prophète. Vous pouvez donc comprendre mon enthousiasme sachant qu’elle était enfin prête pour une bonne baise anale. Ce fut très facile pour moi de trouver une raison qui pouvait justifier mon absence. Ça fait 3 ans que je bosse dans un ce night-club, il était évident qu’on allait tout de suite me croire sans trop poser de question. Je n’ai pas l’habitude d’agir ainsi, mais cette fois ci, ben je n’avais pas trop le choix, je devais rentrer chez moi très vite, car connaissant ma petite beurette, je suis sûr qu’elle était déjà à poil en train de se caresser toute seule. Elle aime que je la surprenne dans ces conditions-là.

Je fis tout ce parcours en moins de 30 minutes, 30 minutes à moto, d’habitude je le fais presque en 35 minutes. Arrivé à la maison, elle était déjà toute nue avec un gode dans l’anus. Elle l’enfonçait et le ressortais lentement en me fixant comme pour me dire « viens enfoncer ta queue dans ce trou du cul ». C’est ça ma meuf, une vraie tigresse arabe un peu folle, une vraie cochonne. Je n’eus même pas besoin d’enlever tout mon pantalon, je le descendis juste jusqu’au genou avant de d’enfoncer ma queue au fond de son anus directement et à sec.

- Ça fait un moment que je m’encule seule avec mon gode, m’avoua-t-elle en souriant

Elle avait besoin d’une bite dans son fion et elle ne pouvait plus attendre, une queue en plastique ne la comblait plus. Je l’enculai en levrette en lui assenant des belles gifles aux fesses, elle aime ça. Elle n’arrêtait pas de pousser des petits cris, comme des cris de plaisir nuancés aux petits cris de douleur. Je sentais qu’elle adorait tout ça. Son anus était encore bien serrée, je ne mis pas bien longtemps à jouir dans son trou du cul. Ça ne dura pas longtemps, pas plus de 20 minutes, mais j’avais du mal à retrouver mon souffle.

- Maintenant, défonce moi la chatte. Me dit-elle

La soirée était loin d’être finie avec cette gourmande, on baisa presque toute la nuit, jusqu’à épuisement total. Le sexe c’est toujours aussi intense avec elle. C’est une chance de tomber sur une femme arabe aussi sexy, cochonne et complice.
Publié dans Histoire de sexe en duo le janvier 12 2024 à 03:42

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