Un rien m’habille, une soie légère ou un voile frivole,
Mais ce qui m’enveloppe vraiment, ce sont tes yeux,
Ces éclats furtifs, audacieux, parfois doux,
Qui glissent sur mes courbes comme des caresses invisibles.
Chaque regard est un feu qui me réchauffe,
Un manteau d’adoration qui embrase ma peau.
Je le sens, ce désir silencieux,
Ce frisson qui naît dans l’air, entre toi et moi.
Alors je joue, doucement, délicieusement.
Une épaule qui s’échappe, une cambrure offerte,
Une démarche lent... Lire la suite…Un rien m’habille, une soie légère ou un voile frivole,
Mais ce qui m’enveloppe vraiment, ce sont tes yeux,
Ces éclats furtifs, audacieux, parfois doux,
Qui glissent sur mes courbes comme des caresses invisibles.
Chaque regard est un feu qui me réchauffe,
Un manteau d’adoration qui embrase ma peau.
Je le sens, ce désir silencieux,
Ce frisson qui naît dans l’air, entre toi et moi.
Alors je joue, doucement, délicieusement.
Une épaule qui s’échappe, une cambrure offerte,
Une démarche lente, presque innocente…
Et pourtant, tout est calculé pour capturer ton souffle.
Et toi, mon spectateur gourmand,
Je te laisse te rincer les yeux,
Comme une offrande, une récompense pour ta ferveur.
Regarde-moi encore, dévore-moi en silence,
Car dans ce jeu, c’est toi qui m’habilles,
Langoureusement, délicatement,
Avec le tissu de tes envies,
Et moi, je me délecte d’être ta muse, ton mirage, ton obsession.
Après ma nuit plutôt arrosée, j'appréhendais un peu de descendre au petit-déjeuner et de voir Johnatan le jeune serveur ou Hamed le barman, avec qui mon mari Thierry m'avait partagée la nuit...